Test fermé 13.4 – Nouveaux navires.
Capitaine ! Une cargaison de nouveaux navires se préparent à l’entrée en test lors de la mise à jour 13.4, avec une complète branche de navire !
Nous sommes maintenant prêt à vous présenter un aperçu de leur histoire et de leur gameplay !
Destroyer français :
Une nouvelle ligne de destroyer français avec pas moins de 6
nouveaux navires, du rang V au rang X ! Disposant d’une batterie
principale efficace et d’un armement de torpilles respectables, ces destroyers
seront de véritables couteaux suisses, distinct de leurs frères canonniers.
Ces navires disposent de très bonne torpilles avec des dégâts de
base très élevés, une bonne vitesse et une bonne portée. Bien que pas
exceptionnelle, leur batterie principale apportent de bons dégâts par minutes
et un alpha solide. Leur survivabilité est améliorée grâce à la mécanique de
saturation classique des destroyers français : quand les destroyers
classiques reçoivent toujours des dégâts classique dans leur section médiane,
les destroyers français reçoivent seulement la moitié de ces dégâts au bout d’un
certain temps. En plus de cela, ces navires auront accès à un boost du moteur
d’urgence, similaire à celui du Ragnar.
De bonnes torpilles à longue portée, des canons solides, une saturation spéciale, un boost du moteur d’urgence… Ca sonne trop bien pour être vrai ? Peut-être bien ! Ces nouveaux destroyers français arrivent avec une nouvelle mécanique pour leurs torpilles. A partir du Hardi (rang VII), ces nouveaux navires seront uniquement équipés de ces torpilles. Celles-ci perdent des dégâts avec la distance parcourue : elles en font beaucoup à moins de 6km, puis les dégâts commencent à diminuer. De plus, leur batterie principale souffre d’une mauvaise balistique pour ses obus, rendant le tir à longue distance difficile. Vous voulez jouer proche et au contact avec ces navires ! Une vitesse de base faible et une absence d’accès au générateur de fumée sont également de fort désavantages pour ces navires.
Concernant le gameplay, en raison de la combinaison de leurs mécaniques de torpilles et de la mauvaise balistique de ses obus, les capitaines voudront se concentrer sur des attaques surprises à courte portée. Ces navires peuvent sortir victorieux d’engagement rapides avec les navires ennemis grâce à leur saturation spéciale et leur boost du moteur d’urgence, mais ils risquent de ne pas faire long feu dans des engagement long alors que le boost du moteur ne sera plus disponible.
Destroyer français l’Adroit, rang V :
La classe de destroyer l’Adroit représente une évolution de la classe Bourrasque. Le navire de tête fût construit à Dunkerque et nommé en l’honneur d’un des navire commandé par Jean Bart, officier de marine et corsaire dunkerquois renommé. Ayant participé aux première opérations de la seconde guerre mondiale, l’Adroit rencontre son destin le 21 mai 1940, proche de sa ville natale, lors de l’évacuation des forces alliés de la côte française.
Le modèle du navire étant encore en développement, nous utiliseront le destroyer français Vent comme base de développement, le navire ayant les mêmes paramètres que l’Adroit.
Points de vie – 12300. Blindage - 10 mm.
Batterie principale - 4x1 130 mm. Portée de tir
- 11.2 km.
Dégâts maximums des obus HE – 1900. Pénétration
des obus HE - 22 mm. Probabilité d’incendier un navire ennemi – 9%. Vitesse
initiale des obus HE - 725 m/s.
Dégâts maximums des obus AP - 2300. Vitesse
initiale des obus AP - 725 m/s.
Temps de rechargement - 6.4 s. Temps de rotation
à 180° - 18.0 s. Dispersion maximale - 99 m. Sigma – 2.00.
Charges de profondeur :
Dégâts maximums - 3000.0. Nombre de charges - 2.
Grenades par charge - 2. Temps de rechargement - 40.0 s.
Tubes lance-torpilles - 2x3 550 mm.
Dégâts maximums - 8533. Portée - 8.0 km. Vitesse
- 65 nœuds. Temps de rechargement - 95 s. Temps de rotation à 180° du lanceur –
7.2 s. Détectabilité des torpilles - 1.4 km.
DCA: 2x1 37.0 mm., 2x2 13.2 mm.
DCA de courte portée: dégâts continus par
seconde - 14, probabilité de toucher - 95 %, rayon d’action - 1.5 km;
DCA de moyenne portée: dégâts continus par
seconde - 4, probabilité de toucher - 100 %, rayon d’action - 3.0 km;
Vitesse maximale - 33.0 nœuds. Rayon du cercle
de giration - 560 m. Temps de basculement du gouvernail – 3.0 s. Détectabilité
en surface – 6.6 km. Détectabilité aérienne – 2.7 km. Détectabilité après le
tir des canons principaux depuis un écran de fumée – 2.6 km.
Consommables disponibles :
Emplacement 1 - Equipe de contrôle des avaries (Durée
: 5s, Temps de rechargement 40 s; Equipement illimité)
Emplacement 2 - Boost du moteur d’urgence (Durée
: 40s, Vitesse maximale +20%; Temps de rechargement 120 s; Charges 3)
Destroyer français Duchaffault, Rang VI
Un destroyer de classe Soldati construit en Italie pour la Regia
Marina. Au cours de la seconde guerre mondiale, le navire a joué un rôle
important dans les campagnes de méditerranée. En 1948, le navire est transféré
à la France en guise des réparations de guerre. Renommé Duchaffault en
l’honneur d’un célèbre commandant du 18ème siècle, le destroyer
servira dans la marine nationale jusqu’en 1956.
Points de vie – 14300. Blindage
- 16 mm.
Batterie principale - 1x1 120 mm. Portée de tir
- 11.4 km.
Batterie principale - 2x2 120 mm. Portée de tir
- 11.4 km.
Dégâts maximums des obus HE – 1700. Pénétration
des obus HE - 20 mm. Probabilité d’incendier un navire ennemi – 7%. Vitesse
initiale des obus HE - 950 m/s.
Dégâts maximums des obus AP - 2300. Vitesse
initiale des obus AP - 950 m/s.
Temps de rechargement - 5.9 s. Temps de rotation
à 180° - 12.9 s. Dispersion maximale - 100 m. Sigma – 2.00.
Charges de profondeur :
Dégâts maximums - 3000.0. Nombre de charges - 2.
Grenades par charge - 6. Temps de rechargement - 40.0 s.
Tubes lance-torpilles - 2x3 533 mm.
Dégâts maximums - 9433. Portée - 9.0 km. Vitesse
- 67 nœuds. Temps de rechargement - 87 s. Temps de rotation à 180° du lanceur –
7.2 s. Détectabilité des torpilles - 1.4 km.
DCA: 4x1 20.0 mm., 4x2 20.0 mm.
DCA de courte portée: dégâts continus par
seconde - 88, probabilité de toucher - 95 %, rayon d’action - 2.0 km;
Vitesse maximale - 38.0 nœuds. Rayon du cercle
de giration - 570 m. Temps de basculement du gouvernail – 3.6 s. Détectabilité
en surface – 6.8 km. Détectabilité aérienne – 2.8 km. Détectabilité après le
tir des canons principaux depuis un écran de fumée – 2.5 km.
Consommables disponibles :
Emplacement 1 - Equipe de contrôle des avaries (Durée
: 5s, Temps de rechargement 40 s; Equipement illimité)
Emplacement 2 - Boost du moteur d’urgence (Durée
: 40s, Vitesse maximale +20%; Temps de rechargement 120 s; Charges 3)
Destroyer français Le Hardi, Rang VII
Les douze destroyers de classe Le Hardi, lancés à la fin des années 30 allaient
devenir la vitrine des avancements technologiques pour les navires de ce type
au sein de la marine nationale. Le navire de test, Le Hardi, fût admis au
service actif en juin 1940 peu avant la capitulation française, et il ne joua
pas un rôle significatif lors des opérations de guerre. Le navire fût sabordé à
Toulon le 27 novembre 1942 pour éviter sa capture par les Allemands.
Points de vie – 15100. Blindage
- 16 mm.
Batterie principale - 3x2 130 mm. Portée de tir
- 12.0 km.
Dégâts maximums des obus HE – 1950. Pénétration
des obus HE - 22 mm. Probabilité d’incendier un navire ennemi – 9%. Vitesse
initiale des obus HE - 840 m/s.
Dégâts maximums des obus AP - 2400. Vitesse
initiale des obus AP - 800 m/s.
Temps de rechargement - 5.5 s. Temps de rotation
à 180° - 18.0 s. Dispersion maximale - 105 m. Sigma – 2.00.
Charges de profondeur :
Dégâts maximums - 3000.0. Nombre de charges - 2.
Grenades par charge - 1. Temps de rechargement - 40.0 s.
Tubes lance-torpilles - 2x2 550 mm.
Dégâts maximums - 19200. Portée - 9.0 km. Vitesse
- 69 nœuds. Temps de rechargement - 110 s. Temps de rotation à 180° du lanceur
– 7.2 s. Détectabilité des torpilles - 1.5 km.
Tubes lance-torpilles - 1x3 550 mm.
Dégâts
maximums - 19200. Portée - 9.0 km. Vitesse - 69 nœuds. Temps de rechargement -
110 s. Temps de rotation à 180° du lanceur – 7.2 s. Détectabilité des torpilles
- 1.5 km.
Dégâts maximums infligés jusqu’à 6km.
DCA: 7x1 20.0 mm., 1x2 37.0 mm.
DCA de courte portée: dégâts continus par
seconde - 88, probabilité de toucher - 95 %, rayon d’action - 2.0 km;
DCA de moyenne portée: dégâts continus par
seconde - 35, probabilité de toucher - 100 %, rayon d’action - 3.5 km;
Vitesse maximale - 37.0 nœuds. Rayon du cercle
de giration - 610 m. Temps de basculement du gouvernail – 3.6 s. Détectabilité
en surface – 7.0 km. Détectabilité aérienne – 3.3 km. Détectabilité après le
tir des canons principaux depuis un écran de fumée – 2.7 km.
Consommables disponibles :
Emplacement 1 - Equipe de contrôle des avaries (Durée
: 5s, Temps de rechargement 40 s; Equipement illimité)
2 slot - Boost du moteur d’urgence (Durée :
50s ; Vitesse maximale +25%; Temps de rechargement 120 s; Charges 3)
Destroyer français Orage, Rang IX
Un design théorique
servant de précurseurs aux destroyers de classe T-47. Le nom Orage est un long
de longue tradition depuis le 17ème siècle. Un des navires portants
ce nom fût un destroyer de classe Bourrasque, tragiquement perdu en mai 1940 à
Dunkerque.
Points de vie – 18100. Blindage
- 19 mm.
Batterie principale - 3x2 127 mm. Portée de tir
- 12.1 km.
Dégâts maximums des obus HE – 1900. Pénétration
des obus HE - 21 mm. Probabilité d’incendier un navire ennemi – 7%. Vitesse
initiale des obus HE - 808 m/s.
Dégâts maximums des obus AP - 2450. Vitesse
initiale des obus AP - 808 m/s.
Temps de rechargement - 4.3 s. Temps de rotation
à 180° - 10.0 s. Dispersion maximale - 106 m. Sigma – 2.00.
Charges de profondeur :
Dégâts maximums - 3000.0. Nombre de charges - 2.
Grenades par charge - 8. Temps de rechargement - 40.0 s.
Tubes lance-torpilles - 3x3 550 mm.
Dégâts maximums - 23400. Portée - 12.0 km. Vitesse
- 70 nœuds. Temps de rechargement - 120 s. Temps de rotation à 180° du lanceur
– 7.2 s. Détectabilité des torpilles - 1.5 km.
Dégâts maximums infligés jusqu’à 6km.
DCA: 3x2 127.0 mm., 4x1 20.0 mm., 2x2 57.0 mm.
DCA de courte portée: dégâts continus par
seconde - 35, probabilité de toucher - 95 %, rayon d’action - 2.0 km;
DCA de moyenne portée: dégâts continus par
seconde - 105, probabilité de toucher - 100 %, rayon d’action - 3.8 km;
DCA de longue portée: dégâts continus par
seconde - 70, probabilité de toucher - 100 %, rayon d’action - 6.0 km;
Nombre d’explosions dans une salve - 3, dégâts
dans une explosion - 1610, rayon
d’action 3.5 - 6.0 km.
Vitesse maximale - 34.0 nœuds. Rayon du cercle
de giration - 680 m. Temps de basculement du gouvernail – 4.2 s. Détectabilité
en surface – 8.0 km. Détectabilité aérienne – 4.0 km. Détectabilité après le
tir des canons principaux depuis un écran de fumée – 3.1 km.
Consommables disponibles :
Emplacement 1 - Equipe de contrôle des avaries (Durée
: 5s, Temps de rechargement 40 s; Equipement illimité)
Emplacement 2 - Boost du moteur d’urgence (Durée
: 60s, Vitesse maximale +30%; Temps de rechargement 120 s; Charges 3)
Destroyer français Cassard, Rang X
Un destroyer de classe
T-47, représentant la première série de destroyer construit pour la marine
nationale après la seconde guerre mondiale. Le Cassard, nommé d’après le fameux
corsaire et officier de marine Jacques Cassard, rentre en service actif en
1956. Le navire joua un rôle important dans les opérations internationales
liées au canal de Suez et servit de manière régulière de navire amiral dans de
nombreuses formations marines au cours de ses deux décennies de service actif
dans la marine nationale.
Points de vie – 20500. Blindage - 19 mm.
Batterie principale - 3x2 127 mm. Portée de tir - 13.9 km.
Dégâts maximums des obus HE – 1900. Pénétration des obus HE
- 21 mm. Probabilité d’incendier un navire ennemi – 7%. Vitesse initiale des
obus HE - 808 m/s.
Dégâts maximums des obus AP - 2450. Vitesse initiale des
obus AP - 808 m/s.
Temps de rechargement - 3.5 s. Temps de rotation à 180° -
10.0 s. Dispersion maximale - 119 m. Sigma – 2.00.
Charges de profondeur :
Dégâts maximums - 3000.0. Nombre de charges - 2. Grenades
par charge - 6. Temps de rechargement - 40.0 s.
Tubes lance-torpilles - 4x3 550 mm.
Dégâts maximums - 24267. Portée - 13.5 km. Vitesse - 72 nœuds.
Temps de rechargement - 120 s. Temps de rotation à 180° du lanceur – 7.2 s. Détectabilité
des torpilles - 1.5 km.
Dégâts maximums infligés jusqu’à 6km.
DCA: 3x2 127.0
mm., 4x1 20.0 mm., 3x2 57.0 mm.
DCA de courte portée : dégâts continus par seconde - 35, probabilité
de toucher - 95 %, rayon d’action - 2.0 km;
DCA de moyenne portée : dégâts continus par seconde - 151, probabilité
de toucher - 100 %, rayon d’action - 3.8 km;
DCA de longue portée : dégâts continus par seconde - 63, probabilité
de toucher - 100 %, rayon d’action - 6.0 km;
Nombre d’explosions dans une salve - 3, dégâts dans une explosion
- 1680, rayon d’action 3.5 - 6.0 km.
Vitesse maximale - 34.0 nœuds. Rayon du cercle de giration -
670 m. Temps de basculement du gouvernail – 4.5 s. Détectabilité en surface –
8.0 km. Détectabilité aérienne – 4.1 km. Détectabilité après le tir des canons
principaux depuis un écran de fumée – 3.1 km.
Consommables disponibles :
Emplacement 1 - Equipe de contrôle des avaries (Durée : 5s, Temps
de rechargement 40 s; Equipement illimité)
Emplacement 2 - Boost du moteur d’urgence (Durée : 60s,
Vitesse maximale +30%; Temps de rechargement 120 s; Charges 3)
Soyez avisé que le Destroyer français de rang VIII
L'Aventurier sera ajouté au jeu dans une des mises à jour à venir.
Croiseur soviétique Kozma Minin, Rang IX
Un design
hypothétique basé sur les bonnes relations navales entre l’URSS et l’Allemagne
en 39-40, expliquant sa batterie principale composée de canons allemands de 20.3
cm/60 SK C/34 guns et son design basé sur le projet 65 (Dm. Donskoi en jeu) de
qui le navire a reçu ses caractéristiques architecturales.
Le navire fût nommé d’après une figure russe historique du 17ème siècle – un nom historiquement prévu pour les croiseurs du projet 68bis qui ne virent jamais le jour.
Le Kozma Minin présentera un mélange unique de
caractéristiques, combinant les traits des croiseurs allemands et soviétiques.
Avec une batterie principale de huit canons de 203 mm similaires à ceux de
l'Amiral Hipper, il possède une bonne pénétration des obus HE, des obus AP aux dégâts
élevés et une balistique à longue portée relativement confortable. L'accès au
radar soviétique et aux consommables boost du moteur lui donnera une
flexibilité supplémentaire dans les batailles, ce qui est contrebalancé par sa
citadelle vulnérable, sa mauvaise manœuvrabilité et sa mauvaise dissimulation
le rendant peu efficace à courte portée.
Au combat, le Kozma Minin sera efficace à longue portée
en mettant à profit sa vitesse et sa bonne balistique. Son radar à 12 km peut
être utilisé en soutien des destroyers alliés, tandis que son AP peut punir les
broadside ennemis.
Points de vie – 43400. Blindage
- 25 mm. Durée des feux : 30 s.
Protection anti-torpilles - 16 %.
Batterie principale - 4x2 203 mm. Portée de tir
- 18.5 km.
Dégâts maximums des obus HE – 2500. Pénétration
des obus HE - 51 mm. Probabilité d’incendier un navire ennemi – 13%. Vitesse
initiale des obus HE - 925 m/s.
Dégâts maximums des obus AP - 5900. Vitesse
initiale des obus AP - 925 m/s.
Temps de rechargement - 9.5 s. Temps de rotation
à 180° - 22.5 s. Dispersion maximale - 161 m. Sigma – 2.05.
Airstrike (DC):
Temps de rechargement - 30.0 s. Vols disponibles
- 2. Nombre d’avion par vol- 1. Portée maximale- 7.0 km. Nombre de bombes par
avion- 2. Dégâts maximums des grenades - 4200.0.
Tubes lance-torpilles - 2x5 533 mm.
Dégâts maximums - 17933. Portée - 6.0 km. Vitesse
- 65 nœuds. Temps de rechargement - 74 s. Temps de rotation à 180° du lanceur –
7.2 s. Détectabilité des torpilles - 1.3 km.
Armement secondaire
6x2 100.0 mm, Portée - 7.0 km.
Dégâts maximums des obus HE – 1400. Probabilité
d’incendier un navire ennemi – 6%. Vitesse initiale des obus HE - 1000 m/s
DCA: 10x4 25.0 mm., 6x4 45.0 mm., 6x2 100.0 mm.
DCA de courte portée: dégâts continus par
seconde - 172, probabilité de toucher - 85 %, rayon d’action - 3.1 km;
DCA de moyenne portée: dégâts continus par
seconde - 210, probabilité de toucher - 90 %, rayon d’action - 3.5 km;
DCA de longue portée: dégâts continus par
seconde - 140, probabilité de toucher - 90 %, rayon d’action - 5.8 km;
Nombre d’explosions dans une salve - 6, dégâts
dans une explosion - 1470, rayon
d’action 3.5 - 5.8 km.
Vitesse maximale - 36.0 nœuds. Rayon du cercle
de giration - 970 m. Temps de basculement du gouvernail – 10.6 s. Détectabilité
en surface – 15.5 km. Détectabilité aérienne – 7.6 km. Détectabilité après le
tir des canons principaux depuis un écran de fumée – 10.2 km.
Consommables disponibles :
Emplacement 1 - Equipe de contrôle des avaries
(Durée : 5s, Temps de rechargement 60 s; Equipement illimité)
Emplacement 2 - Recherche hydroacoustique (Durée
: 100s, détection des torpilles : 3.5km. Détection des navires : 5.0 km; Temps
de rechargement 120 s; Charges 3)
2 slot – Feu anti-aérien défensif (Durée :
40s. Dégâts anti-aérien continus : +50%. Dégâts dans une explosion : +300%. Temps de rechargement 80 s; Charges
3)
3 slot – Radar de surveillance (Durée : 25s,
detection des navires : 12.0 km; Temps de rechargement 120 s; Charges 3)
4 slot – Equipe de réparation (Durée 28 s; PV par
seconde 217.0; Temps de rechargement 80 s; Charges 3)
5 slot – Boost du moteur (Durée : 120 s; Vitesse
maximale +8%; Temps de rechargement 120 s; Charges 3)
Croiseur français Brennus, Rang X
Une modification du croiseur Henri IV
avec sept canons de 305 mm : une incarnation d'après-guerre du concept de
"croiseur de bataille".
Le navire porte le nom du célèbre chef
celte Brennus (IVe siècle av. J.-C.). Le nom a été proposé pour les croiseurs
de la classe Saint-Louis (1940).
Les anciens reconnaîtront peut-être le
nom de Brennus : utilisé pour tester l'ajout du boost de rechargement de
la batterie principale au Henri IV il y a quelques années, il fait maintenant
son retour dans le jeu comme un navire à part entière, disposant d’une
puissante batterie principale de sept canons de 305 mm. De très bons obus AP et
une excellente balistique, combinées à un bon temps de rechargement et à une
vitesse élevée, feront du Brennus un adversaire redoutable à longue portée. Le
navire a accès aux consommables boost du moteur amélioré et à l’équipe de
réparation dans des emplacements séparés. Si nécessaire, six torpilles par flanc
peuvent également dissuader les navires ennemis à courte portée. Cependant, le
Brennus a une vitesse de rotation des tourelles médiocre, un faible nombre de
canons qui réduit le poids de ses salves, et un blindage relativement mauvais.
Au combat, le Brennus sera brillera
avec un capitaine avisé à la barre, utilisant sa vitesse élevée pour prendre
des positions inattendues et punir les flancs des navires ennemis avec ses
excellents obus AP. Le capitaine devra également faire preuve d'une grande
capacité de « doge » (c’est mieux en anglais), car les cuirassés
ennemis représentent une menace importante en raison de son faible blindage.
Points de vie – 53300. Blindage
- 25 mm. Durée des feux : 60 s.
Protection anti-torpilles - 19 %.
Batterie principale - 1x3 305 mm. Portée de tir
- 20.3 km.
Batterie principale - 2x2 305 mm. Portée de tir
- 20.3 km.
Dégâts maximums des obus HE – 4250. Pénétration
des obus HE - 51 mm. Probabilité d’incendier un navire ennemi – 25%. Vitesse
initiale des obus HE - 905 m/s.
Dégâts maximums des obus AP - 8700. Vitesse
initiale des obus AP - 870 m/s.
Temps de rechargement - 13.5 s. Temps de
rotation à 180° - 30.0 s. Dispersion maximale - 173 m. Sigma – 2.05.
Frappe aérienne (DC):
Temps de rechargement - 30.0 s. Vols disponibles
- 2. Nombre d’avion par vol- 1. Portée maximale- 8.0 km. Nombre de bombes par
avion- 2. Dégâts maximums des grenades - 4900.0.
Tubes lance-torpilles - 4x3 550 mm.
Dégâts maximums - 14833. Portée - 9.0 km. Vitesse
- 60 nœuds. Temps de rechargement - 90 s. Temps de rotation à 180° du lanceur –
7.2 s. Détectabilité des torpilles - 1.3 km.
Armement secondaire
6x2 127.0 mm, Portée - 8.3 km.
Dégâts maximums des obus HE – 1800. Probabilité
d’incendier un navire ennemi – 9%. Vitesse initiale des obus HE - 808 m/s
DCA: 8x4 40.0 mm., 5x1 20.0 mm., 6x2 127.0 mm.
DCA de courte portée: dégâts continus par
seconde - 39, probabilité de toucher - 85 %, rayon d’action - 2.0 km;
DCA de moyenne portée: dégâts continus par
seconde - 228, probabilité de toucher - 90 %, rayon d’action - 3.5 km;
DCA de longue portée: dégâts continus par
seconde - 119, probabilité de toucher - 90 %, rayon d’action - 6.0 km;
Nombre d’explosions dans une salve - 5, dégâts
dans une explosion - 1680, rayon
d’action 3.5 - 6.0 km.
Vitesse maximale - 35.0 nœuds. Rayon du cercle
de giration - 840 m. Temps de basculement du gouvernail – 11.2 s. Détectabilité
en surface – 16.0 km. Détectabilité aérienne – 8.3 km. Détectabilité après le
tir des canons principaux depuis un écran de fumée – 13.1 km.
Consommables disponibles :
Emplacement 1 - Equipe de contrôle des avaries (Durée
: 5s, Temps de rechargement 60 s; Equipement illimité)
Emplacement 2 – Boost du moteur (Durée :
180 s; Vitesse maximale +20%; Temps de rechargement 90 s; Charges 3)
Emplacement 3 – Equipe de réparation (Durée 28
s; PV par seconde 266.5; Temps de rechargement 80 s; Charges 3)
Super croiseur américain Jacksonville
Une évolution de la classe Worcester,
doté de quinze canons de 6 pouces à double usage, sur la base des propositions
faites au début des années 1940 pour que les futurs croiseurs à double usage
soient armés de tourelles triple-tube.
Le croiseur porte le nom de la ville
de Jacksonville, en Floride, qui n'est pas seulement un endroit remarquable de
l'État du soleil avec une longue et riche histoire, mais aussi l'une des plus
grandes bases navales des États-Unis depuis la Seconde Guerre mondiale.
Couronnant la ligne des croiseurs
légers américains, Jacksonville représente les meilleures qualités des navires
qui l'ont précédé : une batterie principale à chargement rapide de quinze
canons de 152 mm capables d'infliger d'incroyables dégâts, une rotation rapide des
tourelles, une excellente DCA, une bonne dissimulation et un ensemble
polyvalent de consommables. Il a également un autre atout dans sa manche : les
instructions de combat, qui augmentent temporairement la pénétration des obus HE,
ce qui compense la faiblesse typique des croiseurs légers. Une balistique
médiocre et un blindage faible, similaire à celui du Worcester, représentent
les inconvénients les plus sérieux de ce navire.
Les capitaines déjà familiarisés avec
les croiseurs légers se sentiront à l'aise avec Jacksonville. L'utilisation
efficace des couverts comme les îles ou les écrans de fumée, sera cruciale pour
tirer le meilleur parti de sa batterie principale. Sa puissante suite AA et son
accès au radar de surveillance font également du Jacksonville un excellent
navire de soutien - un travail d'équipe efficace avec des navires alliés fera
du Jacksonville une présence redoutable sur les mers.
Points de vie – 52000. Blindage
- 25 mm. Durée des feux : 30 s.
Protection anti-torpilles - 19 %.
Batterie principale - 5x3 152 mm. Portée de tir - 17.2 km.
Dégâts maximums des obus HE – 2200. Pénétration des obus HE - 30 mm. Probabilité
d’incendier un navire ennemi – 12%. Vitesse initiale des obus HE - 812 m/s.
Dégâts maximums des obus AP - 3200. Vitesse initiale des obus AP - 762 m/s.
Temps de rechargement - 5.0 s. Temps de rotation à 180° - 7.2 s. Dispersion
maximale - 152 m. Sigma – 2.05.
Instruction de combat :
Touches directes avec les canons principaux requis pour atteindre remplir la
barre - 100.
Temps d’inactivité avant que la barre commence à se vider - 30.0
s.
Progression perdue par seconde d’inactivité - 5.0 %.
Effet actif : Pénetration des obus HE +25.0%; Durée 40.0 s
Frappe aérienne (DC):
Temps de rechargement - 30.0 s. Vols disponibles - 2. Nombre d’avion par vol-
1. Portée maximale- 8.0 km. Nombre de bombes par avion- 2. Dégâts maximums des
grenades - 4900.0.
DCA: 16x2 76.2 mm., 5x3 152.0 mm.
DCA de moyenne portée: dégâts continus par seconde - 882, probabilité de
toucher - 90 %, rayon d’action - 4.0 km;
DCA de longue portée: dégâts continus par seconde - 133, probabilité de toucher
- 90 %, rayon d’action - 6.9 km;
Nombre d’explosions dans une salve - 6, dégâts dans une explosion - 1890, rayon d’action 3.5 - 6.9 km.
Vitesse maximale - 34.0 nœuds. Rayon du cercle de giration - 790 m. Temps de
basculement du gouvernail – 11.5 s. Détectabilité en surface – 12.3 km. Détectabilité
aérienne – 8.5 km. Détectabilité après le tir des canons principaux depuis un
écran de fumée – 6.2 km.
Consommables disponibles :
Emplacement 1 - Equipe de contrôle des avaries (Durée : 5s, Temps de
rechargement 60 s; Equipement illimité)
Emplacement 2 – Feu défensif anti-aérien (Durée 40 s; Dégâts continus +50%; Dégâts
dans une explosion +300%; Temps de rechargement 80 s; Charges 4)
Emplacement 3 – Radar de surveillance (Durée - 40 s; Détection des navires - 9.0 km; Temps de
rechargement 120 s; Charges 3)
Emplacement 4 – Equipe de réparation (Durée 28 s; PV par seconde 260.0; Temps
de rechargement 80 s; Charges 3)
Emplacement 5 – Recherche hydroacoustique (Durée 100 s; Détection des torpilles
- 3.5 km, détection des navires - 5.0 km; Temps de rechargement 120 s; Charges
3)
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