Nouveaux navires - Test fermé 12.7
Les cuirassés japonais Yumihari, Adatara et Bungo, ainsi que le cuirassé japonais premium Tsurugi ont rejoint le jeu pour être testés.
Yumahari est armé de huit canons de 410 mm, tandis que Adatara et Bungo disposent respectivement de huit et dix canons de 457 mm. Tsurugi possède quant à lui 6 canons de 457 mm.
Les nouveaux navires sont des croiseurs de combat furtifs, qui s'appuient sur leurs canons à longue portée, avec une bonne précision et des dégâts conséquents par salve, ainsi que sur un nouveau type de consommable - un avion de reconnaissance équipé d'optiques de haute précision. Lorsqu'il est activé, cet avion de reconnaissance augmente non seulement la portée de tir des canons, mais aussi leur précision.
Pour ce qui est de leurs points faibles, citons le peu de points de structure, leur faible blindage et une défense antiaérienne médiocre.
Après la fin de la guerre russo-japonaise, le Japon a adopté le plan " Flotte 8 - 8 ", selon lequel sa flotte devait se composer de huit cuirassés et de huit croiseurs-cuirassés rapides. Ce plan a subi un certain nombre de modifications : les croiseurs-cuirassés ont notamment été remplacés par des croiseurs de bataille, et le nombre de navires a été réduit. Cependant, après le déclenchement de la Première Guerre mondiale, la construction navale a repris. Le design de ce croiseur de bataille était une évolution des navires de la classe Kongō. L'étude a été poursuivie par la suite et a donné naissance aux plans de la classe Amagi.
Après l'annonce par les États-Unis d'un ambitieux programme de construction navale en 1919, le plan naval japonais fut revu : il exigeait la construction de quatre cuirassés et de quatre croiseurs de bataille. Treize variantes de cuirassés et de croiseurs de bataille sont proposées. Le "projet A", qui devint la classe Kii-, fut retenu pour les cuirassés, et le "projet K" le fut pour les croiseurs de bataille. La construction devait commencer en 1922, mais en raison du traité naval de Washington, ces croiseurs de bataille n'ont pas été construits.
Après la modification du plan de construction de la flotte japonaise, de nouveaux cuirassés et croiseurs de bataille sont commandés. Le projet L, une version élargie du projet A qui devint la classe Kii, fut développé. Il était également armé de cinq tourelles doubles dotées de canons de 18 pouces. Cependant, ce projet dépassait de 9 000 tonnes le déplacement du Kii, ce qui aurait entraîné une augmentation significative des coûts. La construction du Kii et de ces navires a été empêchée par le traité naval de Washington, qui a abouti à une interdiction temporaire de la construction de cuirassés et à une limitation du tonnage total de chaque nation.
Les différences entre les modèles de cuirassés et de croiseurs de bataille de la "nouvelle flotte 8-8" sont minimes. Les croiseurs de bataille "No. 13" et les cuirassés de classe Kii ont pratiquement la même vitesse. Cependant, la doctrine japonaise pour cette flotte de demandait que les croiseurs de batailles, plus rapides, contournent la flotte ennemie pour la prendre à revers. Pour augmenter la vitesse et rendre la classe "No. 13" capable de ce rôle, une solution aurait été de retirer l'une des quatre tourelles principales du design. Cependant, la construction des navires de la classe "n° 13" a été annulée après la signature du traité de Washington.
En jeu, le Tsurugi est un croiseur de bataille doté d'une batterie principale puissante et longue portée. Il est également équipé de torpilles d'eau profonde similaires à celles de l'Asashio, mais avec une portée plus courte.
Le navire se distingue également par sa grande vitesse et sa bonne dissimulation. Quant à ses défauts, il dispose d'un petit nombre de points de vie et d'un faible blindage, en particulier au niveau de la citadelle.
Yumahari est armé de huit canons de 410 mm, tandis que Adatara et Bungo disposent respectivement de huit et dix canons de 457 mm. Tsurugi possède quant à lui 6 canons de 457 mm.
Les nouveaux navires sont des croiseurs de combat furtifs, qui s'appuient sur leurs canons à longue portée, avec une bonne précision et des dégâts conséquents par salve, ainsi que sur un nouveau type de consommable - un avion de reconnaissance équipé d'optiques de haute précision. Lorsqu'il est activé, cet avion de reconnaissance augmente non seulement la portée de tir des canons, mais aussi leur précision.
Pour ce qui est de leurs points faibles, citons le peu de points de structure, leur faible blindage et une défense antiaérienne médiocre.
Cuirassé japonais Yumihari, rang VIII
Après la fin de la guerre russo-japonaise, le Japon a adopté le plan " Flotte 8 - 8 ", selon lequel sa flotte devait se composer de huit cuirassés et de huit croiseurs-cuirassés rapides. Ce plan a subi un certain nombre de modifications : les croiseurs-cuirassés ont notamment été remplacés par des croiseurs de bataille, et le nombre de navires a été réduit. Cependant, après le déclenchement de la Première Guerre mondiale, la construction navale a repris. Le design de ce croiseur de bataille était une évolution des navires de la classe Kongō. L'étude a été poursuivie par la suite et a donné naissance aux plans de la classe Amagi.
Cuirassé japonais Adatara, rang IX
Après l'annonce par les États-Unis d'un ambitieux programme de construction navale en 1919, le plan naval japonais fut revu : il exigeait la construction de quatre cuirassés et de quatre croiseurs de bataille. Treize variantes de cuirassés et de croiseurs de bataille sont proposées. Le "projet A", qui devint la classe Kii-, fut retenu pour les cuirassés, et le "projet K" le fut pour les croiseurs de bataille. La construction devait commencer en 1922, mais en raison du traité naval de Washington, ces croiseurs de bataille n'ont pas été construits.
Cuirassé japonais Bungo, rang X
Après la modification du plan de construction de la flotte japonaise, de nouveaux cuirassés et croiseurs de bataille sont commandés. Le projet L, une version élargie du projet A qui devint la classe Kii, fut développé. Il était également armé de cinq tourelles doubles dotées de canons de 18 pouces. Cependant, ce projet dépassait de 9 000 tonnes le déplacement du Kii, ce qui aurait entraîné une augmentation significative des coûts. La construction du Kii et de ces navires a été empêchée par le traité naval de Washington, qui a abouti à une interdiction temporaire de la construction de cuirassés et à une limitation du tonnage total de chaque nation.
Cuirassé Japonais Tsurugi, rang IX
Les différences entre les modèles de cuirassés et de croiseurs de bataille de la "nouvelle flotte 8-8" sont minimes. Les croiseurs de bataille "No. 13" et les cuirassés de classe Kii ont pratiquement la même vitesse. Cependant, la doctrine japonaise pour cette flotte de demandait que les croiseurs de batailles, plus rapides, contournent la flotte ennemie pour la prendre à revers. Pour augmenter la vitesse et rendre la classe "No. 13" capable de ce rôle, une solution aurait été de retirer l'une des quatre tourelles principales du design. Cependant, la construction des navires de la classe "n° 13" a été annulée après la signature du traité de Washington.
En jeu, le Tsurugi est un croiseur de bataille doté d'une batterie principale puissante et longue portée. Il est également équipé de torpilles d'eau profonde similaires à celles de l'Asashio, mais avec une portée plus courte.
Le navire se distingue également par sa grande vitesse et sa bonne dissimulation. Quant à ses défauts, il dispose d'un petit nombre de points de vie et d'un faible blindage, en particulier au niveau de la citadelle.
Nomenclature:
La marine impériale japonaise avait la particularité de porter une attention spéciale à la beauté et à la mélodie du nom de ses navires. Comme on le sait, depuis 1905, il était de règle de donner aux cuirassés des noms de provinces historiques, et aux croiseurs de bataille et aux croiseurs lourds des noms de montagnes des îles japonaises. Toutefois, les navires qui ont été convertis dans une autre classe ont conservé leur nom d'origine. Par exemple, les cuirassés Kongo, Hiei, Kirishima et Haruna - nommés d'après des pics montagneux - sont des croiseurs de bataille entrés en service en 1915, mais ont été entièrement modernisés et reclassifiés dans les années 1930 en tant que cuirassés.
Pour les nouveaux cuirassés japonais, nous avons suivi des règles similaires. Yumihari a été nommé d'après un pic montagneux près de laquelle se trouve la plus grande base navale japonaise, Sasebo. Adatara a été nommé en l'honneur d'un volcan actif dans la préfecture de Fukushima, sur l'île de Honshu. Le sommet de la branche, Bungo, porte le nom d'une province historique de l'est de l'île de Kyushu. Enfin, Tsurugi porte le nom d'une montagne de l'île de Shikoku. En japonais, ce nom est également utilisé pour désigner un type d'épée datant du début du Moyen Âge, qui est ensuite devenue l'une des reliques sacrées du shintoïsme.
Statistiques de la branche:
Cuirassé japonais Yumihari, rang VIII
Points de structure – 62200. Revêtement - 25
mm. Protection anti-torpille - 26 %.
Armement principal - 4x2 410 mm. Portée de tir
- 22.8 km.
- Dégats max HE– 6500. Pénétration HE - 68 mm. Chances d’incendie – 30%. Vitesse initiale HE - 834 m/s.
- Dégats max AP - 12000. Vitesse initiale AP - 870 m/s.
- Rechargement - 26.0 s. Rotation à 180° - 35.0 s. Dispersion maximale - 248 m. Sigma – 2.20.
Frappe aérienne (ASM):
- Rechargement - 30.0 s. Escadrons disponibles - 2. Avions par escadron - 1. Portée maximale - 10.0 km. Nombre de grenades par avion - 2. Dégats max par grenade - 4200.0.
Armement secondaire:
8x2 127.0 mm, portée - 6.6 km.
- Dégats max HE– 2100. Chances d’incendie – 8%. Vitesse initiale HE - 725 m/s
- Dégats max HE– 2400. Chances d’incendie – 10%. Vitesse initiale HE - 850 m/s
Défense AA: 14x3 25.0 mm., 20x2 25.0 mm., 16x1
25.0 mm., 8x2 127.0 mm.
- Défense AA courte portée: Dégats par seconde - 287, précision - 85 %, zone d’action - 2.5 km;
- Défense AA longue portée: Dégats par seconde - 105, précision - 75 %, zone d’action - 5.8 km;
- Nombre d’explosions par salve - 5, dégats d’une explosion - 1470, zone d’action 3.5 - 5.8 km.
Vitesse maximale - 30.0 kt. Rayon de giration
- 880 m. Temps de basculement du gouvernail – 15.2 s. Détectabilité par la mer
– 14.7 km. Détectabilité par les airs – 11.0 km. Détectabilité après tir depuis
la fumée– 14.8 km.
Consommables
disponibles:
- Emplacement 1- Équipe de contrôle des avaries
- Emplacement 2- Équipe de réparations
- Emplacement 3- Chasseur / Avion de reconnaissance à optiques de haute précision (Durée d’action 65 s; Augmentation de la portée de tir +10.0%; Dispersion maximale des obus: -20%; Rechargement 120 s; Charges 5)
Japanese battleship Adatara, tier IXPoints de structure – 71100. Revêtement - 25 mm. Protection anti-torpille - 29 %.Armement principal - 4x2 457 mm. Portée de tir - 23.9 km.
Frappe aérienne (ASM):
Armement secondaire:
Défense AA: 10x3 25.0 mm., 15x1 25.0 mm., 6x2 100.0 mm., 12x2 40.0 mm.
Vitesse maximale - 30.0 kt. Rayon de giration - 880 m. Temps de basculement du gouvernail – 16.2 s. Détectabilité par la mer – 15.0 km. Détectabilité par les airs – 11.8 km. Détectabilité après tir depuis la fumée– 16.5 km. Consommables disponibles:
Japanese battleship Bungo, tier XPoints de structure – 82800. Revêtement - 25mm. Protection anti-torpille - 36 %. Armement principal - 5x2 457 mm. Portée de tir - 25.0 km.
Frappe aérienne (ASM):
Armement secondaire: 12x1 140.0 mm, portée - 7.3 km.
Défense AA: 20x3 25.0 mm., 17x1 25.0 mm., 8x2 100.0 mm., 16x2 40.0 mm.
Vitesse maximale - 30.0 kt. Rayon de giration - 960 m. Temps de basculement du gouvernail – 17.4 s. Détectabilité par la mer – 15.0 km. Détectabilité par les airs – 12.8 km. Détectabilité après tir depuis la fumée– 16.5 km. Consommables disponibles:
Japanese battleship Tsurugi, tier IXPoints de structure – 69700. Revêtement - 25 mm. Protection anti-torpille - 41 %.Armement principal - 3x2 457 mm. Portée de tir - 23.0 km.
Frappe aérienne (ASM):
Tubes lance-torpilles - 2x4 610 mm.
Armement secondaire:
Défense AA: 12x3 25.0 mm., 20x1 25.0 mm., 8x2 127.0 mm., 8x2 40.0 mm.
Vitesse maximale - 35.0 kt. Rayon de giration - 970 m. Temps de basculement du gouvernail – 16.0 s. Détectabilité par la mer – 14.1 km. Détectabilité par les airs – 11.8 km. Détectabilité après tir depuis la fumée– 15.7 km. Consommables disponibles:
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