[DEV BLOG] Nouveaux super-navires - Test Fermé 12.3
Le super-cuirassé britannique Devastation et le super-croiseur soviétique Novosibirsk ont été ajouté au jeu a des fins de test.
Super-cuirassé britannique Devastation :
Le cuirassé "maximal", concrétisant les fantasmes des constructeurs navals britanniques en matière de cuirassé, en faisant fi des restrictions lié traité naval de Washington. La conception du navire est globalement proche de celle du Vanguard tandis que le système propulsif est similaire à celui de la classe de porte-avions Eagle.
Le Devastation continue la branche du Conqueror. Il est équipé de 16 canons principaux de 419mm en 4 tourelles, dispose d'une bonne portée de tir mais le temps de rechargement est relativement long. En raison du nombre important de canons principaux, le navire peut tirer de lourdes salves. Ses obus He ont des dégâts élevés, de même que leur pénétration et la probabilité d'infliger un incendie. Les obus AP ont une pénétration relativement faible.
Le Devastation est équipé d'une équipe de réparation spécialisée permettant de régénerer un grand nombre de points de vie, et dispose aussi d'une bonne dissimulation. Dans le même temps, le navire n'a absolument pas le plus grand nombre de point de vie des super-cuirassés, ainsi qu'un blindage relativement médiocre.
Paramètres du navire :
Points de vie : 99800. Blindage : 32mm. Protection anti-torpilles : 28%.
Batterie principale : 4x4 419mm. Portée de tir : 24.5km.
Dégâts maximums des obus HE : 7200. Pénétration des obus HE : 105mm. Probabilité de causer un incendie : 48%. Vitesse initiale des obus HE : 792m/s. Dégâts maximums des obus AP : 13000. Vitesse initiales obus AP : 747m/s.
Temps de rechargement : 35s. Temps de rotation à 180° : 30s. Dispersion maximale : 305m. Sigma : 1.8
Frappe aérienne (DC) :
Temps de rechargement : 30s. Escadrons disponibles : 2. Avions par escadrons : 1. Portée maximale : 11km. Nombre de bombes par avions : 2. Dégâts maximums d'une bombe : 4900.
Armement secondaire : 8x2 133mm, portée : 7.3km.
Dégâts maximums d'un obus HE : 1900. Probabilité de causer un incendie : 8%. Vitesse initiale des obus HE : 792 m/s.
DCA : 10x1 40mm, 11x2 76.2mm, 8x2 133mm
DCA de moyenne portée : dégâts continus par seconde : 823, probabilité de toucher ; 75%, zone d'action : 4.0km
DCA de longue portée : dégâts continus par seconde : 74, probabilité de toucher : 75%, zone d'action : 6.0km.
Nombre d'explosions dans une salve : 4, dégâts dans une explosion : 1610, zone d'action : 3.5 - 6.0km.
Vitesse maximale : 30.5 nœuds. Rayon du cercle de giration : 1020m. Temps de basculement du gouvernail : 18.9s. Détectabilité en surface : 13.7km. Détectabilité après le tir des canons principaux depuis un écran de fumée : 15.6km.
Consommables disponibles :
Emplacement 1 : équipe de contrôle des avaries
Emplacement 2 : équipe de réparation spécialisée (Durée : 20s, PV par seconde : 1996, temps de rechargement : 80s, charges : 3)
Raisons quant au choix du nom du navire :
Les noms des cuirassées et des croiseurs de bataille de la Royal Navy de cette époque étaient divisés en trois grand types, avec littéralement deux exceptions. Le premier type était en l'honneur de grand amiral de la marine à voile : Hood, Barham, Nelson, Rodney, Anson, Howe. Le seconde était en l'honneur de membre de la famille royale : Queen Elizabeth, King George V, Prince of Wales, Duke of York, ainsi que les symboles associés aux souverains et au chêne royal (moi pas comprendre). Le troisième groupe consiste en des qualités ou des actions : Valiant, Warspite, Revenge, Resolution, Renown, Repulse.
Les noms du dernier groupe reprennent de long siècles de tradition qui se poursuit depuis les navires de la Royal Navy des ères précédentes. C'est pour cette raison que nous avons décidé de rester sur cette idée pour ce nouveau cuirassé britannique, considérant que des navires portant ce nom ont existé depuis lde début du 19e siècle, les deux premiers étant des cuirassés à voile armé de canons du plus gros calibre possible. Le dernier fût le cuirassé des années 1873 à 1909 qui marque l'entrée dans l'ère des navires capitaux.
Super croiseur soviétique Novosibirsk :
Dans le milieu des années 1930, l'USSR commença à réaliser des designs préliminaires pour des navires disposant d'une puissante artillerie. Dans les années 1934-35, plusieurs projets de "grands croiseurs" armés de canon de 240 ou 150mm furent développés. En février 1936, le département des constructions navales du directorat des forces navales de l'armée rouge précisèrent les spécifications tactiques et techniques des projets de cuirassés et de croiseurs. Les ingénieurs produisirent un design de croiseur lourd et en conçurent 4 versions, avec une artillerie principale dont le calibre variait de 254 à 305mm. Finalement, ce projet de croiseur aboutit en un projet de cuirassé de type B (n°25 à 64), tandis que l'idée de construire un croiseur lourd revient sur la table à la fin des années 30 avec le projet 69. Dans le cas d'un croiseur construit durant la seconde moitié des années 30, sa complétion avant la seconde guerre mondiale est improbable, aussi son achèvement dans les années 1960 comme un navire escorteur de convoit pouvant intervenir en support d'opération de débarquement et étant navire amiral de l'escadron expéditionnaire de Méditerranée est plus probable.
Dans l'arbre technologique, le Novosibirsk suit le Petropavlovsk. Il est armé de neuf canons de 254mm dans trois tourelles. Les canons se distinguent par leur bonne portée, leur balistique plate et leur forte précision à courte distance. Cependant, au mesure que la portée augmente, la précision diminue fortement. Les obus AP du navires ont des angles de ricochet améliorés ainsi qu'une forte pénétration, tandis que les obus HE infligent peu de dommages. Le navire n'est pas équipé de torpilles.
Le Novosibirsk dispose d'une grand nombre de point de vie et d'une forte protection contres les obus HE mais d'une faible manœuvrabilité et d'une détectabilité élevée. Les consommables comprennent un radar de surveillance à longue portée mais court temps d'action, une équipe de réparation et au choix la recherche hydroacoustique ou le tir anti-aérien défensif dans le même emplacement.
Paramètres du navire :
Points de vie : 65 800. Blindage : 25mm. Durée des incendies : 30s. Protection anti torpilles : 25%.
Batterie principale : 3x3 254mm. Portée : 19km.
Dégâts maximums des obus HE : 3550. Pénétration des obus HE : 42mm. Probabilité d'incendier un navire ennemi : 16%. Vitesse initiale des obus HE : 900 m/s. Dégâts maximums d'un obus AP : 6900. Vitesse initiale d'un obus AP : 900m/s. Temps de rechargement : 14s. Temps de rotation à 180° : 32.7s. Dispersion maximale : 196m. Sigma : 2.05.
Frappe aérienne (DC) :
Temps de rechargement : 30s. Escadrons disponibles : 2. Avions par escadrons : 1. Portée maximale : 8km. Nombre de bombes par avions : 2. Dégâts maximums d'une bombe : 4900.
Armement secondaire : 6x2 152mm, portée : 7.3km.
Dégâts maximums d'un obus HE : 2200. Probabilité de causer un incendie : 12%. Vitesse initiale d'un obus HE : 950 m/s.
DCA : 7x2 57mm, 6x2 152mm
DCA de moyenne portée : dégâts continus par seconde : 452, probabilité de toucher ; 90%, zone d'action : 4.0km
DCA de longue portée : dégâts continus par seconde : 81, probabilité de toucher : 90%, zone d'action : 5.8km.
Nombre d'explosions dans une salve : 4, dégâts dans une explosion : 1750, zone d'action : 3.5 - 5.8km.
Vitesse maximale : 34.5 nœuds. Rayon du cercle de giration : 1090m. Temps de basculement du gouvernail : 13.2s. Détectabilité en surface : 16.6km. Détectabilité aérienne : 9.9km Détectabilité après le tir des canons principaux depuis un écran de fumée : 12.5km.
Consommables disponibles :
Emplacement 1 : équipe de contrôle des avaries
Emplacement 2 : recherche hydroacoustique / feu anti-aérien défensif
Emplacement 3 : Radar de surveillance (Durée : 15s, détection des navires : 12.0km, temps de rechargement : 120s, charges : 3)
Emplacement 4 : équipe de réparation spécialisée (Durée : 28s, PV par seconde : 329, temps de rechargement : 80s, charges : 3)
Raisons derrière le choix du nom du navire :
Le fait de nommer les navires soviétiques d'après des villes est bien connu : Sevastopol, Leningrad, Tashkent, Murmansk etc. Mais si vous regardez sur la carte, ce sont des capitales de la république soviétique ou de grande cités cotières. Quelques exceptions se trouvent à une période plus tardive. Dans la série des grand navire anti sous-marins du projet 1155 (destroyers de classe Udaloy), le Khabarovsk vu sa quille posée en 1982 et le Simferopol deux ans plus tard. Cependant, lorsque le navire était encore au stade de projet, il fût renommé "Admiral Levchenko", correspondant à la séries des amiraux et maréchaux, tandis que le seconde fût renommé "Severomorsk".
Un tel principe pour nommer les navires était compréhensible : ce sont les capitales de larges villes administratives en bord de mer. Il était logique de s'interesse aussi aux grandes villes aux centres du pays. C'est ce qui nous a guidé pour le choix du nom de ce croiseur, qui arriva en service au milieu des années 60 : Novosibirsk, la capitale d'une vaste région clé de Sibérie et la troisième ville la plus peuplée de Russie
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