GUIDE, NELSON

GUIDE, NELSON

Guide publié un Vendredi car étant absent ce week end, j'ai décalé les dates de parution. Le prochain guide sera un guide sur l'AA, sûrement publié Lundi.

Un grand merci à LittleWhiteMouse ou AprilWhiteMouse de m’avoir autoriser à traduire ses guides !

Traduction par : moi même^^

Avant tout, je dit "IL" pour un navire. Certains, comme LWM disent "ELLE".

 The Walking Dead.

Résumé rapide : Un cuirassé assez lent de la Royal Navy, dont tout les canons sont monté sur la proue (à l'avant). Son consommable "équipe de réparation" lui permet de revenir d'entre les morts...

Coût : 375 000 EXP libre.

_______________________

Navire du jeu le plus proche : Imperator Nikolai

Degré de similarité : Clone / Sister-Ship / Classe relative / Rôle similaire / Unique

Whoa, pas de panique ! Le Nelson n'est pas un second Imperator Nikolai. Ils partagent simplement une disposition des canons similaire et un état de résilience semblable. Ils partagent également le défaut d'avoir une citadelle haute, ce qui signifie qu'ils sombrent rapidement si ils ont le malheur d'exposer leur flanc face à des obus AP de cuirassé. Enfin, comme le Nikolai, le gros point faible du Nelson est son armure de proue. Alors que le cuirassé russe n'a à s’inquiéter que des obus frappant la partie supérieur de son nez, la totalité de la proue du Nelson peut facilement être overmatch par la plupart de ses contemporains. Il s'agit cependant d'un défaut commun aux cuirassés de ce tier.

_______________________

Points forts : 

-Consommable "équipe de réparation" amélioré

-Bonne protection blindé contre les bombes AP

-Bonne valeur de sigma (1.9) aidant à avoir des obus relativement bien groupé

-Disposition flexible des canons, permettant de passer rapidement d'un côté à l'autre

-Détonateur à retardement assez court, conduisant à moins de sur-pénétration

-Performance des obus HE ridiculement élevé avec 101mm de pénétration,  une frappe Alpha élevé (6900 de dommages maximum par obus) et 46% de chance d'allumer un feu.

Points faible : 

-Le navires est "aveugle" sans recherche hydroacoustique, radar ou même avion de repérage

-La citadelle dépasse grandement de la ligne de flottaison

-Des valeurs de pénétration des obus AP médiocre, comparable à celles du Warspite

-Faible vitesse de rotation des tourelles (4.0°/s)

-La puissance de feu et concentré sur la zone AA "proche", tandis que les batteries AA sont excessivement fragile

-Navire très lent, avec une vitesse maximal de 24 noeuds

-Portée de détection importante (15.3 km)

Le HMAS Nelson est le dernier des "7 grands cuirassés" à rejoindre WoWs. Ce sont les cuirassés des Etats-Unis, du Japon et de la Grande-Bretagne qui ont été autorisés à ce munir de canons de 16" en vertu du traité Naval de Washington de 1922. Ils étaient constitués de la classe Nagato, représenté par Nagato et Mutsu, trois navires de classe Colorado et la classe Nelson avec HMS Nelson et son navire jumeau, le HMS Rodney.
 On ne peut nier que leur silhouette est très distinctive. Lors des tests CC en jeu, j'ai reçu de nombreux commentaires au sujet de son apparence...
 Son style de jeu est aussi particulier que son apparence. Entrons dans les tenants et aboutissants de ses performances en jeu.

Construction :

Consommables : 

-Equipe de contrôle des avaries
-Equipe de réparation

Nelson dispose d'une version améliorée du consommable "équipe de réparation". Il restaure 1188 (1426 avec le drapeau) points de vie par secondes, soignant donc jusqu'à 40% (48%) des points de vie maximum du navire par charge. Cependant, cela ne concerne que 2 (3) charges contre 3 (4) pour les autres cuirassés. Nelson répare les dégâts subis de la même manière que les autre cuirassés de la Royal Navy. Il utilise le même consommable "équipe de contrôle des avaries" (Warspite excepté) avec une période active de 15 secondes.

Camouflage premium : Type 10, tier VI et +, standard. Procure 50% de gains d'EXP supplémentaire, une réduction de 3% de la détection de surface et de 4% de la précision des ennemis visant le navire.

Mise à niveau : Quatre emplacements standard de cuirassé

-Dans le premier emplacement, prenez la modification 1 des armements principaux. Vous risquez de faire beaucoup de bow-tanking, vos tourelles peuvent donc être facilement incapacités. En particulier, la tourelle B est incapacité ou détruite fréquemment. Le modification spéciale modification de l'équipe de contrôle des avaries augmenterait la durée d'activation du consommable à 21 secondes, mais elle n'est pas recommandé.

-Dans le second emplacement, la modification du système de visée 1 est votre meilleur choix. La dispersion horizontale du Nelson n'est pas excellente, la précision supplémentaire est donc indispensable. Ses canons AA et secondaires ne valent pas la peine d'être amélioré.

-Dans le troisième emplacement, prenez la modification 1 du système de contrôle des avaries.  Cela réduit les chances que vous avez de prendre un feu ou une inondation.

-Enfin, dans votre quatrième emplacement, vous avez le choix. La modification du gouvernail 2 réduira votre temps de basculement de barre à 11.9 s. Si vous préférez, vous pouvez également utiliser la modification du système de contrôle des avaries 2 afin de réduire les dégâts causés par les feux et les inondations.

Puissance de feu :

Batterie principale : Neuf cannons de 406 mm réparti dans trois tourelles triples disposées en ABC sur la poupe, avec un dépassement de la tourelle B au dessus de la tourelle A

Batterie secondaire : Douze canons de 152mm dans 6 tourelles double et 6 canons simples de 120mm.

Les valeurs approximatives de pénétration de Nelson pour ses obus AP sont 550 mm à 5 km, 450 mm à 10 km et 350 mm à 15 km.

Comme le Dunkerque, le Nelson est en grande partie défini par le positionnement de sa batterie principale. En effet, tout leurs canons principaux sont montés devant leur superstructure. Les vétérans ayant joué avec l'Izumo qui s’inquiètent du maniement des canons peuvent être rassuré, les canons du Nelson sont très confortable, plus semblable à l'Imperator Nikolai qu'au cuirassé japonais. Ses tourelles A et B ont d’excellents angles de tir (respectivement 300 et 322°). X est plus limité, mais reste facile à utiliser. Il peut engager des ennemis avec la totalité de ses canons de 25 à 137° pour chaque flanc, pour un champs de tir combiné de 224°. Dans la plupart des engagements, vous utiliserez les tourelles A et B, tandis que X servira principalement pour des tirs opportunistes. La vitesse de rotation des tourelles est faible avec 4° par secondes (45 secondes pour faire 180°), mais comme les canons sont tous disposés à l'avant, il est facile de passer d'une bordée sur bâbord à une bordée sur tribord. Dans l'ensemble, le placement des tourelles rend l'utilisation des canons agréable. Même tirer derrière est assez facile.

La précision du Nelson est toutefois un peu mitigée. Le groupement d'obus est plutôt resserré avec un valeur de 1.9 de sigma, mais elle n'a PAS la dispersion des autres navires britanniques. Sa dispersion horizontale semble être le même que celle des cuirassés Américain. C'est mieux que les cuirassés Allemand, mais cela ne reste guère enviable. En conséquence, lorsque vous tirer avec le Nelson, vous pouvez avoir un groupement d'obus juste magnifique puis, la salve d'après, obtenir une dispersion totalement débile.

Les obus AP du Nelson ne sont pas extrêmement intéressant, mais les obus HE sont tout simplement phénoménaux. Ces  derniers ne remplace cependant pas les premiers.

Les obus AP ont une pénétration à longue distance semblable à celle du Warspite (381mm) tout en ayant un temps de détonation plus court. Ceci est parfaitement adéquat (et même idéal) pour intimider tout croiseurs de flanc. Cependant, l'histoire est différente avec les cuirassés. Son calibre de 406mm lui permet d'overmatch tout les croiseurs qu'il rencontre, ainsi que les cuirassés de niveau VII et inférieur. Cependant, sa capacité à citadelle des cuirassés ennemi diminue largement pour une distance dépassant 12km (14km pour des cibles plus facile comme Oktyabrskaya Rovolutsiya). Obtenir ne serait ce que des pénétrations devient difficile au delà de 14 km. Cette distance chute encore plus lorsque Nelson est low-tier et doit tirer sur des cuirassés de rang supérieur.

Un combat à courte portée n'est cependant pas une bonne solution pour le Nelson. Bien que cela améliore grandement les capacités de pénétration des canons, l'aide fournis par les canons secondaires est bien moins inspirante. Les secondaires du Nelson sont réparties entre des canons double usage de 120mm et 6 tourelles double de 152mm. Elles sont mieux placés que sur le Dunkerque, mais reste terriblement mal placé pour soutenir une offensive. Le volume de feu fourni est aussi très faible (5 coups par minutes sur les 152), et ne peuvent engager un ennemi presque seulement si il est sur son flanc ou son arrière.

Nelson ne semble pas utiliser le même modèle de dispersion que Warspite et Hood. Sa valeur de 1,9 sigma garde ses groupes serrés, cependant.

Les obus HE du Nelson sont à voir. Ils ont un alpha de 6900, une pénétration de 101mm pour 46% de chance de feu. La liste des navires que peut citadelle le Nelson à l'HE est suffisamment longue pour penser que le jouer en spammeur HE est le moyen optimal de ce servir de ce cuirassé. Bien que chaque pénétration génère 2277 points de dégâts,  ce nombre diminue rapidement lorsque les zones sont saturées. Son impressionnante capacité de départ d'incendie lui permet de faire énormément de dégâts sur des cibles ayant utiliser leur équipe de contrôle des avaries. Cependant, les obus AP doivent être considéré comme la principale source de dommage du Nelson, les HE ne venant qu'en renfort.

Les obus HE sont mieux utiliser contre des DD, évidement, ou de manière opportuniste sur un cuirassé ennemis à longue distance, ou encore en soutien d'un porte avion (puisqu'une salve peut détruire un tas d'armement anti-aérien). L'énorme zone d'explosion de ses obus (39.2 m) causera d'important dégâts au module de n'importe quelle cible, même si les obus ne pénètrent pas. Ces obus ont une zone d'explosion plus grosse et plus puissante que celle du Yamato, du Lion ou même du Conqueror. Il peut également forcer les navires à utiliser leur équipe de contrôle des avaries pour réparer le moteur ou le gouvernail, ce qui les laisse ensuite vulnérable aux incendies. L'explosion de l'obus seul peut même déclencher l'explosion du dépôt de destroyers ou de croiseurs. Un cuirassé de classe Iowa peut perdre la totalité (oui, la totalité) de ces canons anti-aérien de petit et de moyen calibre en seulement deux ou trois volées. Envoyer quelques volées d'obus HE en début de partie peut donc grandement aider votre CV, surtout avant que vous soyez à portée optimal pour vos obus AP. N'oubliez pas que les croiseurs sont éminemment prioritaire lorsque vous tirez à l'AP.

Entre le maniement des armes et la puissance des obus AP et HE, la puissance de feu du Nelson est incroyablement tolérante. En théorie, un joueur novice pourra toujours envoyé des bordées d'HE et acumuler des dégâts assez respectable à condition de survivre assez. Cependant, il resterait perdant face à un joueur variant judicieusement les munitions. Rappelons que les dégâts d'incendie sont réparable à 100% et les dégâts des pénétrations d'HE en grande partie, ce qui n'est pas le cas d’une citadelle...

_______________________

Rival : Croiseur de bataille HMS Hood
L'HMS Nelson est le deuxième cuirassé britannique de rang 7 introduit dans le jeu, le Hood le précédant de quelques mois. La conception et le type de jeu des deux navires sont tellement différent que c'est risible. Nelson est lent, endurant et implacable. Hood est rapide, flexible et fragile. Nelson est une victime pour les avions tandis que Hood est un cauchemar pour les portes avions. Les deux lutent dans un MM tier 9. Ce sont les canons du Nelson qui le place, à mon avis, devant. Il peut infliger des dégâts de manière fiable, ce que le Hood ne peut pas prétendre, même avec sa précision (bien) meilleure.

_______________________

Maniabilité : 

Vitesse maximale : 24 noeuds

Rayon de giration : 750m

Temps de basculement du gouvernail : 14.9 s

Taux de rotation maximal : 3.71°/s

Nelson est lent. 24 nœuds, c'est presque acceptable. Presque.

Nelson est plus lent d'un nœud que le Nagato, qui lutte déjà avec son agilité. Cela limite la flexibilité et la capacité de survie du Nelson. Il ne peut pas contrôler la distance d'engagement. Il ne peut pas fuir hors de portée des tirs ennemis. Ces problèmes s'aggravent face à des navires de rang VIII et IX où non seulement les navires sont plus rapide, mais aussi où la taille des cartes rend ces défauts particulièrement punitif. C'est seulement lorsque le Nelson est top tier que sa faible vitesse devient moins gênante, car il doit affronter des navires lents tandis que les cartes sont plus petites. 

Maintenant, ne vous méprenez pas, il n'est pas aussi lent qu'un Arizona. Et bien qu'il a un avantage de trois nœuds sur le Colorado, il ne dispose pas de la préservation de la vitesse de ce dernier lors des virages. Comme la plupart des cuirassés, Nelson perd 25% de sa vitesse maximale en tournant, ce qui lui donne une vitesse de 18 nœuds lorsque le gouvernail est complètement tourner. Si vous utilisez ZQSD comme vous le devriez, vous verrez que le Nelson dépasse rarement 20 nœuds, ce qui donne presque l'impression de ramper lorsque vous vous mettez en position ou que vous fuyez.

Nelson est un bus, voir pire, lorsqu'il tourne. La seule chose qui sauve un peu le tout est qu'il tourne 0.1°/s plus vite que le Nagato (ce qui n'est pas grand chose). La bonne nouvelle est qu'il est incapable de tourner plus vite que ses tourelles. La mauvaise est que, même si son temps de réponse au gouvernail n'est pas très élevé, l'effet de ce dernier est tout simplement trop faible, ce qui rend le Nelson extrêmement vulnérable aux attaques de torpilles ou d'avions.

Survivabilité : 

Points de vie : 59400

Protection de la citadelle : Bulbe anti-torpilles : 32mm + ceinture blindée de 356mm

Armure de pont : 25mm

Réduction des dégâts des torpilles : 19%

A première vue, Nelson à une survivabilité mauvaise pour un cuirassé. Il a une citadelle si haute au dessus de la ligne de flottaison que l'on pourrait croire qu'il s'agit d'un copier coller des vieux Montana et Iowa (il y a longtemps, à l'époque des citadelle jaune, (que j'ai connu^^) ces navires disposait d'une citadelle dépassant énormément). Pire encore, son armure de proue ne fait de 25mm d'épaisseur. Cela signifie qu'il est overmatch par tous les obus AP d'un calibre supérieur à 356mm , c'est à dire la quasi totalité des cuirassés de rang VII et plus (à l'exception du Scharnhorst, King George V et Lyon). Bien qu'il revendique des valeurs de blindage décent, avec un blindage de ceinture allant jusqu’à 356mm et un blindage traversant de 305mm protégeant la citadelle, ces valeurs ne suffisent pas à combler les autre défauts.

La triste réalité est qu'il s'agit justement ce cette armure de 305mm qui constitue le talon d’Achille du navire. Même avec une inclinaison parfait (25-26° d'angle avec la proue en direction de l'ennemi), cette plaque ne peut résister à aucun canon capable d'overmatch la proue. Le Bayern, le Queen Elizabeth et le Hood doivent, pour espérer une citadelle, s'approcher à moins de 12km. Warspite et Mutsu peuvent s'en sortir à 13km. Les valeurs sautent considérablement à partir de là. Le Colorado peut en faire de manière fiable à partir de 18km, et pour les autres navires, on parle de distance plus importantes que 20km. Lorsque vous êtes face au feu de plusieurs cuirassés ennemis, mettez vous de face, connaissez les portées et retenez votre souffle.

En bref, il prend des citadelles très facilement et pour couronner le tout, il se fait overmatch par tous les calibres de 356mm et plus.

Les choses ne s'arrangent pas avec le bulbe anti-torpilles. En effet, le Nelson ne dispose que de 19% de réduction des dégâts des torpilles. Bien que cela soit meilleur de le Hood, ce dernier à l’immense avantage de tourner assez rapidement. J'ai perdu ce navire plus de fois à cause des torpilles que toute autre source de dégâts. Parfois, c'est à cause d'une erreur. D'autres fois, c'est la conjugaison de la faible protection anti-torpilles (et la maniabilité) avec le faible pool de PV.

Enfin, il y à la question des tourelles. Je n'ai pas réussi à savoir pourquoi cela ce produit si souvent, mais le Nelson à très souvent ses tourelles endommagées. La tourelle B semble particulièrement fragile. C'est étrange compte tenu de l’épais blindage de face des tourelles (406 mm) et de ses barbettes (356 mm). Je suppose que les obus touchent ces barbettes ou des partie moins blindées, et provoquent des dégâts critiques. Quoi qu'il en soit, vous pouvez vous attendre à ce qu'au moins une tourelle par bataille soit détruite de façon permanente.

Pourtant, malgré tout les défaut et le modeste pool de PV, Nelson peut être le navire le plus difficile à couler de son rang. Tout cela grâce à son consommable "équipe de réparation". Contrairement à la plupart des cuirassés qui récupèrent jusqu’à 14% de leurs PV en 28 secondes, Nelson peut récupérer 40% en 20 secondes. Cela représente 23 760 points de vie supplémentaires par charge de consommable. Nelson semblera, encore et encore, être sur ses dernières jambes seulement pour revenir, avec beaucoup de PV et disposé à ce battre. L'ajout du pavillon India Delta augmente même les valeurs à 48%, soit 28 512 PV. Avec surintendant, cela fourni au Nelson un total théorique de 173 448 points de dégâts avant qu'il ne coule, a condition bien sûr d'utiliser le consommable de manière optimale.

Je ne peut insister assez sur ce point. Le Warspite, connu pour être un petit monstre en survivabilité, aura reçu 80 000 points de dégâts avant de couler. Cela représente environ 1.5 fois son nombre initial de PV. Pour le Nelson, on parle de 170 000 points de dégâts (plus que pour couler un Yamato), soit 1.5 fois le nombre de PV initial. Vous pouvez retarder l'équipe ennemi simplement parce vous êtes une éponge à dégâts. Cela fait de Nelson une bête absolue contre les croiseurs ennemis. Il peut tout simplement recevoir des tas d'obus et d'incendie et refuser tout progrès aux croiseurs en appuyant sur le bouton.

La seule chose qui empêche que cela soit abuser de manière dégoûtante et la tendance du Nelson à prendre des citadelle (qui ne sont réparable qu'a 10%, contre 60% pour les pénétrations et 100 pour les incendie, inondations, éperonage...). Son consommable partage aussi le long temps de recharge des autres cuirassés, d'importantes frappes Alpha ou d'importants dégâts continues peuvent (et vont) donc le couler. Enfin, il ne reçoit que deux charges contre les trois habituels aux autres cuirassés.

Dans l'ensemble, Nelson résiste incroyablement bien aux dégâts d'incendie grâce à ce consommable; Il rit et répare l'intégralité des dégâts d'incendie causés par les croiseurs, les destroyer, les bombardiers en piqué HE.... Il s’agit donc d'un bon moyen de farmer les médailles Dreadnought et Ignifuge.

Nelson est un zombie. Si vous ne le tuez par proprement, il reviendra toujours d'entre les morts. Des dégâts infligés sous forme de citadelle ou de torpilles sont le seul moyen d'en venir à bout.

Dissimulation/détection : 

Portée de détection en surface de base/minimal: 15.3 km / 13.36
Portée de détection par voie aérienne en surface / minimal : 10.2 / 8.9

Les navires réguliers britanniques de rang VII et + disposent d'une excellente discrétion. Ce n'est pas le cas du Nelson. Au sein de son propre rang, si tous les navires sont construit de manières furtives, il est plus de 700m derrière le King George V, et dépasse a peine Scharnhorst.

La dissimulation d'un navire de guerre lent est primordiale pour sa survie. Lorsque Nelson réduit ses canons au silence, sa portée de détection minimal se trouve réduite à  13.36 km. Cela lui permet de se faufiler vers des cibles sans méfiance jusqu’à ce qu'il est un champ de tir optimal ou un angle optimal. Malheureusement, il n'a pas la vitesse pour un tirer parti. Mis à part quelques rares embuscades ou attaques sur des ennemis distraits, il sera très difficile de se faufiler jusqu’à des cibles méfiantes.

Il est bon de noter que Nelson est un navire terrible pour son propre repérage. Il est aveugle sans aucun consommable pour l'aider à repérer avions, torpilles et navires. Des compétences comme Vigilance sont donc d'une grande utilité, surtout lorsque vous naviguez au milieu des îles ou des des canaux.

Défense Anti-Aérienne :

Calibre : 120mm / 40mm / 20mm
Porté : 1.5 / 2.5 / 5.2
DPS : 58.7 / 265.1 / 608.7

Ne vous fiez pas aux gros chiffres de DPS AA. La puissance de la DCA du Nelson n'est pas aussi puissante qu'il y paraît. Cela est dû à deux choses :

-La DCA manque de portée
-La DCA est concentré sur des canons fragiles.

Nelson ne revendique pas la meilleure portée avec son armement Anti-Aérien. La portée de 5.2 km pour ses canons à double usage est décevante, mais serait réalisable si sa DCA causait plus de dégâts. Malheureusement, la majeure partie de sa puissance réside dans ses canons de petit et moyen calibre. Les "pom pom" de 40mm du Nelson atteignent seulement 2.5km, et ses canons de 20mm 1.5 km. Cela limite sérieusement sa puissance de feu anti-aérienne à des actions d'autodéfense et il ne peut fournir de soutien conséquent à sa flotte.

Mais cela empire... Sa DCA est facilement neutralisée par des tirs, même minimes, à la munition HE. Nelson ne disposent que de six montures octuple "pom pom". Si il en perd un, sa puissance de feu de moyenne portée est réduite de 44.2 dps. Quatre de ces montures sont placées en paire le long du navire, ce qui en fait une proie facile pour les bombes et le spam HE. Les choses ne s'améliorent pas avec les Oerlikons de 20mm. Il y en a 37 dispersés sur toute la surface du navire. Cependant, ils sont regroupés en grands groupes, ce qui réduit leur capacité de survie. Par exemple, dix d'entre eux résident en groupe étroit devant la tourelle A. Les salves d'HE vont donc rapidement détruire les montures de petit calibre, décimant l’efficacité AA du Nelson.

Le seul véritable point positif est que le Nelson dispose d'une protection assez convenable contre les bombes AP. Des test ont montrés qu'il est très rare de faire plus de 10k dégâts.

En résumé : Nelson a de très bonne valeurs d'AA brut, mais cela n'est utile qu'en autodéfense et ne résistera pas longtemps au cours d'une bataille. Prendre ne serait ce que des dommages mineurs peut rapidement anéantir la majeur partie de la DCA.


Les bombardiers en piqué ne représentent pas une menace pour Nelson, même s'ils sont armés de bombes AP. Elle est en mesure de réparer facilement les dommages qui en résultent. Les torpilleurs sont une autre affaire, cependant. La puissance de feu anti-aérienne de Nelson n'est pas à la hauteur pour la protéger.

Compétences :

L'HMS Nelson est un peu bizarre lorsqu'il s'agit de choisir ses compétences. En dehors des compétences de base, les autres n'ont pas une grande incidence. L'optimisation du Nelson ne va pas au delà des compétences Surintendant et Expert en Dissimulation. Après cela, c'est au choix... Il y a trois constructions assez populaire. De ces trois, la construction survie est la plus optimale. Vient ensuite une construction général Anti-Aérienne. Enfin, vous pouvez vous spécialiser dans le spam HE, c'est hilarant. Le noyau de ces trois constructions est le suivant :

-Au premier niveau, la Maintenance Préventive est le meilleur choix, seulement si votre conscience de la situation est suffisamment élevé pour suivre toutes les menaces ennemis détecté. Sinon, Cible Prioritaire doit être le choix par défaut.

-Au deuxième niveau, prenez Poussée d'Adrénaline. Au fur et à mesure que vous prendrez des dégâts, votre DPM augmentera. Notez que avez les énormes saut du nombre de point de vie (en raison du heal) le gain varie considérablement. Alternativement, vous pouvez faire appel à Expert Marksman, pour augmenter la vitesse de rotation des tourelles, bien que Nelson n'en souffre pas trop.

-Au troisième niveau, prenez Surintendant. Un heal de plus signifie un demi pool de PV en plus...

-Au quatrième niveau, prenez Expert en dissimulation. Le Nelson est un grand navire, plus de dissimulation vous aidera a rester en vie (et donc potentiellement utiliser un heal de plus pour revenir d'entre les morts)

Pour les neuf points restants, c'est un peu comme vous voulez...

Construction survie :
Cette construction est, selon moi, la plus utile pour le Nelson. Ces compétences vous aideront à rester plus longtemps dans le combat, et donc amélioreront vos dégâts. Grande Alerte, Base de survivabilité, Vigilance et Prévention des Incendies vous y aideront, choisissez vos préférés. N'oubliez pas Maintenance Préventive si vous ne l'avez pas prise.

Construction Anti-Aérienne :
Sachez que même si Nelson possède des chiffres assez important en DPS AA, sa puissance étant concentrer sur l'aura de courte portée, ce ne sera utile qu'en auto-défense, et non pas pour soutenir la flotte. Par ailleurs, la DCA est facilement détruite par quelques tirs d'HE. Les compétences à choisir sont Entrainement de Base au Tir pour maximiser votre DPS constant et Manuel AA pour augmenter la force de votre secteur.

Construction de spammeur HE :

Maintenant, si un joueur souhaite le jouer à l'HE, parlons des compétences utile. Il ne faut PAS prendre expert en démolition. La différence entre 46% et 48% et bien trop faible pour être intéressante, ce serait gaspiller trois points. Toutefois, Expert en rechargement peut être utile pour changer rapidement de munition.

Parlons maintenant de la compétence Amorce a Inertie pour obus HE. Le Nelson est, bien évidement, capable d’endommager n'importe quel navire avec ses HE. Mais surtout, sa pénétration est si élevée qu'il peut citadelle près de la moitié des navires de son rang. Cela augmente considérablement les dégâts du Nelson, mais demande plus de précision du joueur que pour des obus AP (nous y reviendront)

Voici la liste des croiseurs que le Nelson peut citadelle de base :
France : De Grasse, Charles Martel, Saint Louis
Royaume Uni : Emerald, Leander (et Exeter je suppose)
Union soviétique : Kirov, Mourmansk, Krasny Krym, Molotov, Shchors, Chapayev, Mikhail Kutuzov
Etats Unis : Omaha, Marblehead, Pensacola, Atlante, Flint, Indianapolis (et probablement les croiseurs légers tiers  VI-VII)
Japon : Furutaka, Aoba, Mogami, Ibuki
Autre : Perth


En prenant la compétence amorce à inertie pour obus HE, vous pourrez pénétrer quelques petites sections supplémentaire sur les cuirassés. (à l’exception de Oktyabrskaya Revolutsiya  et du Hood pour lesquelles de larges section deviennent pénétrable) Cela n'en vaut pas la peine... D'autant que cette compétence ne sert à rien pour les destroyers et les portes avions. Mais pour les croiseurs...

En prenant la compétence, le Nelson peut citadelle, à l'HE, les navires supplémentaires ci dessous :
France : La Galissonière, Algèrie
Royaume Uni : Fidji, Belfast, Edimbourg, Neptune
Union soviétique : Budyonny
Etats Unis : Cleveland, Nouvel Orléans (et je suppose Seattle et Baltimore)

Vous noterez l’absence de croiseurs allemands et italiens. En effet, l'armure espacée autour de la citadelle empêche l'HE de pénétrer suffisamment (bien que les modules eux-même peuvent toujours être endommagés par l'explosion). Notez que tout les navires français énumérés ci-dessus sont également en grande partie immunisés, mais ils ont été inclus en raison de petites sections situées directement sous leurs tourelles, ce qui permet à l'HE de, parfois, frapper la citadelle.

La pénétration de la citadelle avec des obus HE ne ce passe pas de la même façon qu'avec des obus AP. En effet, les obus HE détonne immédiatement après avoir touché une surface. En conséquence, vous devez toucher le blindage extérieur de la citadelle. Sur certains navires, la surface de ce blindage est trèèèès petite, parfois seulement un éclat au dessus de la ligne de flottaison... La seule consolation est que les obus HE en se préoccupent pas de l'angle d'impact, vous pouvez donc faire certaine chose malpoli à une croiseur alors que vos obus AP rebondiraient...

Cependant, je doit signaler que, aussi amusant qu'il soit de citadelle un navire à l'HE, vos obus AP peuvent dans presque tout les cas faire aussi bien avec des obus AP - et même plus du fait de leur alpha bien plus important. Alors est ce que IFHE vaut l'investissement de quatre point pour regarder un Belfast pleurer car prenant des citadelle à l'HE, avec plusieurs feux et la plupart des modules de casser...?

Vous n'avez pas vraiment besoin de compétences particulières pour être un spameur HE, mais n'hésitez pas à mettre votre capitaine de Belfast sur le Nelson si vous le voulez.


Jack Dunkirk :
Le commandant unique Jack Dunkirk est un bon capitaine pour le Nelson grâce aux compétences Jack of all trade et expert marksman.  Cependant, la compétence expert en écran de fumée et gaspillé sur les cuirassés. Par ailleurs, tant que le commandant dispose d'expert en dissimulation et de surintendant, Nelson est très tolérant (bon, pas aux balles de mousquet ;) ). Ainsi, si Jack Dunkirk est spécialisé sur un destroyer ou un croiseur, il peut tout de même être placé sur le Nelson.

Boom, bébé! Nelson utilisant HE dans les premières étapes d'un match, bombardant un Scharnhorst ennemi à 17 km. À sa quatrième salve, Nelson avait détruit les deux tubes lance-torpilles du Scharnhorst, allumé trois feux et endommagé sa batterie anti-aérienne

Impression générales : 

Niveau de compétence : simple / occasionnel / difficile / difficile 
Nelson va punir les joueurs novice. Ils vont faire des erreurs et Nelson va les gifler pour ça. Son blindage a besoin d'une touche subtile pour être incliné correctement. Le spam HE ne génère pas beaucoup de dégâts. Son AP rebondira beaucoup à longue portée. il est trop lent et trop gros pour se sortir facilement des situations difficiles ou pour se positionner là où il en a la plus besoin.

Plafond de compétence : faible / modéré / élevé / extrême
Entre les mains d'un expert, Nelson devient une bête totalement différentes. Il ne veut tout simplement pas mourir. Une bonne gestion de son "équipe de réparation" le fera ressusciter deux fois, ce qui permettra à son équipe d'avoir un cuirassé presque complet en fin de partie, même après avori subi une tonne de dégâts. De même, l'utilisation appropriée des munitions paye énormément. Son potentiel de carry est toutefois limité par sa faible vitesse et son manque de capacités de repérage.

Résumé : 

-Il est comme un zombie. Sans une grosse frappe pour l'anéantir pour de bon, il ne cessera de sortir de sa tombe.
-Ses obus HE sont très amusant à utiliser, mais c'est une erreur de trop s'appuyer sur eux. Vous vous maudirez souvent si vous avez des obus HE de chargé au moment où un croiseur ou un cuirassé à la bonne idée de montrer son flanc.
-Il ne peut pas aussi bien se battre contre des bateau de haut rang que ne le ferrai Nagato, Gneisenau ou Scharnhorst.

Ce bateau est extrêmement amusant.

Je connais la grande question qui préoccupe tout le monde : ne pouvez vous pas faire du spam HE et faire en sorte que cette affaire fonctionne? La réponse est oui. Vous ne ferez pas autant de dégâts que si vous tirez à l'AP, mais il est totalement possible de tier un mur d'obus HE au lieu de faire plus de dommage et de tuer des navires rapidement. Des des batailles où la victoire se joue à presque rien, manquer une occasion de faire des citadelles avec vos AP vous coûteront trèèèès cher.  Les rédacteurs du wiki et moi même nous sommes mis au défi d'essayer de jouer full HE. Dépasser 120k de dégâts est possible, surtout avec de nombreux feux, mais plus difficile qu'avec un mélange d'obus AP et HE.

Ce navire semble être conçu pour cultiver le sel de l'ennemi. Entre les feux qu'il peut allumer et l'équipe de réparation totalement trolesque, il donnera envie à l'équipe ennemi de vous focaliser rapidement et de façon importante. Ces obus HE ont une capacité de nuisance énorme... Vous voyez ce Scharnhorst / Gneisenau / Tirpitz qui se bat avec vos coéquipiers? El serait dommage que quelqu'un détruise ses tubes lance torpilles, n'est ce pas? Ou que diriez vous du North Carolina ennemi qui se croit immunisé contre les attaques aérienne de votre compagnon de division Kaga? Il serait dommage que quelqu'un détruise toute la DCA de moyenne et courte portée... C'est le genre d'action que peut faire le Nelson avec ses obus HE...

Malgré tous ces trucs que peut faire l'HE, l' AP reste encore largement meilleur. Pourquoi abattre la puissance Anti-Aérienne du Nouvel Orléans quand vous pouvez tout simplement le couler à coup de citadelles? Il est amusant de ce féliciter pour une volée d' HE très explosive avec 5 obus et 11 385 points de dégâts, mais cela reste inférieur à un seul tir à la citadelle (sans compter les feux, bien entendu); Il y a de bon moments pour tirer à l'HE, ne vous méprenez pas, mais l'AP doit rester la base de vos dégâts avec ce navire.

Nelson est un bon navire, mais il n'est pas génial. Il a trois gros défauts, à mon avis :

-Sa citadelle est trop haute.
-Il est aveugle
-Il est trop lent

Sa citadelle trop haute va être un facteur décisifs pour certain. Lorsque vous affrontez une personne qui sait vraiment viser (ou tout simplement un cuirassé de rang IX), ses points faible sont quasiment impossible à protéger. Cela annule presque l’efficacité impressionnante du consommable "équipe de réparation", tout comme le fait les torpilles.

Son principal atout, cependant, est la gestion des dégâts. J'ai mis un pavillon "India Delta" sur mon Nelson et j'ai pris un mal fou à annoncer dans tout les tchats "surveillez mes PV", alors que mon pauvre cuirassé, malmené, passait soudain d'un tier de ses PV au 5/6. C'est tellement plaisant XD. Un joueur de Belfast à qui j'ai refusé le kill en passant de 1200 PV à près de 30 000 à même traité le navire d'OP. Cela nécessite une gestion minutieuse de votre dissimulation et de votre positionnement, afin de vous échapper d'un dur combat pour vous réparer et revenir dans la mêlée flambant neuf.

Si il n'y avait pas ces trois défauts, Nelson serait vraiment OP. Dans l'état actuel, c'est un excellent compétiteur pour tous les vétérans et il vous mettra au défi de trouver un équilibre entre le choix des munitions, les combats en première ligne puis le retrait pour effectuer des réparations.

Est ce que je le recommande? :

Nelson ne peut être acquis qu'en dépensant 375 000 expériences libres. En convertissant votre exp avec un taux 1 doublons = 25 exp libre, il vous en coûtera 63.25 dollars USH, contre 42.99 pour le Scharnhorst et sa place de port (non fourni avec le Nelson)...

Batailles PvE : 

Les cuirassés fonctionne presque toujours bien dans les batailles en coopération. Nelson n'aura aucun problème, mais sachez que la rentabilité posera problème si vous utilisez les consommables premium sans compte premium.

Batailles PvP

C'est l'enfer. Nelson imprimera des médailles "ignifuge" et "dreadnought" à un point que vous ignorez possible. Il n'est pas non plus mauvais pour "pyromane" et "catastrophe naturelle" si vous utilisez les obus HE. Il est très utile pour monter vos commandants car il accepte la plupart des constructions avec un haussement d'épaule.

Pour le jeu compétitif :

Nelson fera vibrer les gens en batailles classées. Un cuirassé, super-guérisseur, anti-feux et faisant du "bow-tanking"? A moins qu'il ne soit rapidement réprimée, il continuera à revenir et à rendre fou les ennemis. Quand il ne fait pas partie de votre équipe, vous allez détester voir vos coéquipier gaspiller inutilement de la puissance de feu contre lui. Il obtient mon vote.

Pour les collectionneurs :

J'aurais préféré l'HMS Rodney (le navire jumeau du Nelson a une histoire beaucoup plus riche).

Pour le facteur plaisir :

En fonction de votre style de jeu, Nelson sera soit le cuirassé le plus amusant que vous avez, soit un bateau moyen, terne, que vous n’appréciez pas beaucoup. Personnellement, je dis oui !

Verdict final :

GARBAGE -  Non compétitif et mauvais dans la plupart des choses
Mehbote - Un navire moyen. A des forces et des faiblesses. N'a pas besoin de buff pour être viable, mais ne fait pas parti des meilleurs.
Gudbote - Un navire puissant doté de force concurrentielles évidents et de caractéristiques unités le rendant très attrayant
OVERPOWERED - Un navire avec des avantages très clair sur ses opposants qui déséquilibre le jeu.